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   Un écrivain public est un professionnel de la communication écrite, répondant aux demandes d’aide à la rédaction pour les particuliers ou les professionnels.

   L’accompagnement administratif est au cœur du métier, toutefois le champ d’activité peut s’élargir selon sa clientèle et la demande (soutien scolaire, accompagnement dans les œuvres littéraires, atelier lecture, etc.).

   Quand j’ai appris l’existence de ce métier (aux alentours de mes quinze ans), je ne me suis pas tout de suite renseignée, c’est une fois que j’ai commencé à en avoir marre d’être salariée que je me suis remémoré cette activité qui pouvait se pratiquer en étant indépendant !

   Une bonne chose pour moi, j’ai suivi un cursus littéraire (Bac L), car les livres ont toujours fait partie de ma vie, et je voulais absolument travailler dans cet univers.

   J’ai dû commencer à travailler assez tôt, mais entre-temps je suis devenue romancière, j’ai donc dû ouvrir une entreprise individuelle pour faire des séances de dédicaces en toute légalité (le SIRET était obligatoire pour les factures).

   Petit à petit, j’ai mis des sous de côté afin de me former avec le CNED, mais avant ça, j’ai passé un certificat d’orthographe (le Certificat Voltaire). Pour ce faire, il suffit de se procurer le bouquin pour optimiser son score, et le passage de l’examen est payant à hauteur de soixante euros.

   La formation du CNED est très complète, et nous sommes vraiment bien accompagnés. Bien sûr, il y a d'autres plateformes de formation, mais j'étais plus en confiance avec celle-ci, car elle est reconnue par l'État.

   Donc tout ça n’est pas obligatoire, mais si l’on veut être au top du niveau, ce sont des plus indispensables. Puis c’est aussi une façon de rassurer le client ! et de se sentir plus légitime aussi…